17 500 habitants, 33 modules, 7km de long, 3,1km de haut.
Date terrestre : 07h03 Mercredi 17 janvier 2142
Date Vénusien : 16H46 Croday 45 advanae 61
Lieu : atmosphère de Venus, 55km au-dessus de la surface, Babakine, Coordonnée atmosphérique :0°N, 18°E
Module loisir froid (1B)
Alors que le métro ralenti, vous voyez au-dessus de vous une énorme bulle argentée. Anna vous fait descendre du métro, une fois celui-ci arrêté dans la gare, pour l’ascenseur du quai. Vous été surpris par le froid qui vous envie et le nombre de personne entrant dans avec des skis. En effet, alors que l’ascenseur monte, vous découvrez que l’intérieur du module est une immense station de sport d’hivers. Comme sur terre, la température baisse avec l’altitude, donc se module placer tout au sommet de la colonie est exposé à une température négative. Il est recouvert de matériau réfléchissant pour éviter l’effet de serre et permet d’avoir des températures intérieures compatible avec la neige. Des pentes enneiger permette la pratique du ski, surf, luge et autre activité pour tous les niveaux. Seules les compétitions de super géant et de descente ne peuvent être organisé faute de déniveler. Une piste de bobsleigh permet aussi le développement de ce sport qui s’est banalisé sur Vénus. Au cœur du module, plusieurs niveaux plats ou légèrement vallonné abritent des patinoires pour les différents sports de glace et des pistes de ski de fond servant aussi pour le biathlon.
L’ascenseur s’arrête au sommet de la station de sport d’hivers qui le point ouvert au public le plus haut de la colonie. Vous y descendais, car Anna vous propose de découvrir la plateforme de chute libre. C’est une activité très populaire sur Vénus qui est enseigné dès le plus jeune âge d’abord en soufflerie puis en réel. Avec une combinaison fournissant l’oxygène, on peut faire une chute depuis 60 jusqu’à 50km d’altitude. Cette chute de 10km représente environ 3min de chute libre et offre donc une grande liberté de pratique. Vu qu’il n’y a pas de surface solide ou se posé à 50km d’altitude et afin d’éviter d’avoir à plier le parachute à chaque vol, des plateformes de saut on était inventé. Vous entré d’ailleurs dans cette plateforme situer en déporté du sommet de du module station de sport d’hiver. Les vestiaires au centre sont entourés d’ascenseurs filant sur des câbles. Lorsque le ou les sauteurs s’élancent, la cabine le suit et descend à la même vitesse qu’eux ce qui leur permet d’y entrer pendant la chute libre. Une fois tout le monde rentré dans la cabine, elle ralentie, s’arrête puis remonte en quelque minute ce qui permet un nouveau saut. Par mesure de sécurité, chaque sauteur est équipé d’un ballon à hydrogène qui se déploie automatiquement en dessous de 48km lui permettant de reprendre de l’altitude et d’attendre les secoure même s’il est inconscient.
Plus qu’un simple loisir, la chute libre a permis de développement de nombreux sport qui ont désormais leur championnat. Au début, les sports était simplement un élargissement des sports confidentiel sur Terre comme la voltige, le vol relatif ou le voile-contact. Les premiers colons ne se sont pas arrêtés la et on développe des sports typiquement vénusiens basé sur la chute libre. On peut citer notamment les sports de combat comme la lutte ou il faut rester 10 secondes sur le dos de son adversaire. Un des plus spectaculaire est le kendo ou le but est de touche son adversaire avec un bâton mais tout ça en chute libre ce qui rappelle des scènes de film comme matrix. On y trouve aussi des sports de course avec ou sans wingsuit ou il faut passer dans des anneaux holographiques.
Parmi c’est sport de chute libre, le plus populaire est le Quidditch et Anna vous fait traverser le module de loisir froid pour vous rendre dans un stade qui y ai consacré. Ce sport n’a plus grand-chose à voir avec le sport de littérature qui lui a donné son nom. Il se joue avec deux équipes de sept joueurs pendant 4 chutes libres d’environ 3min. Le but est de marqué le plus de point en faisant passé une balle dans les anneaux du camp adverse. Les deux anneaux extérieurs d’un mètre cinquante de diamètre rapportent un point chacun, l’anneau central de 0,75metre de diamètre rapport 3point. Pour finir, le fait de touche le gardien adverse à la tête ou au torse rapport 5 point. En contrepartie de ce rôle de cible, le gardien a moins de 20m de ces anneaux met hors-jeux un adversaire qu’il touche le forcent a reculé jusqu’au milieu de terrain. Le terrain est un ovale de 175m de long pour 60 m de large avec à chaque extrémité les anneaux auquel sont attaché les cabines qui remonte les équipes entre deux chutes. Le stade consacré à ce sport ressemble à une grande raquette à laquelle sont attache les câbles sur lesquelles glisse les cabines des équipes. D’autres câbles servent à guider les tribunes qui tombent en chute libre comme les joueurs mettant les spectateurs en apesanteur à chaque manche. En plus, des personnes dans les tribunes, à chaque match, des supporters place leur dirigeable autour de l’air de jeux et déploie des banderoles pour encourager leur équipe. Mais finalement, la majorité des spectateurs s’installe dans des stades classiques dans les bulles où le match est retransmis. Les drones qui film ces matchs serve aussi aux arbitres qui on leur module vitrer au centre du stade. Vu la vitesse du jeu et l’impossibilité d’interrompre une manche en cours (chute libre), l’arbitrage est assisté voir quasi automatisé par des capteurs sur la balle et les combinaisons des joueurs pour confirmer les contacts.
Alors que vous repartez du stade, Anna vous invite déjà au prochain match qui aura lieu ici, les Lunokhod de Babakine contre les Pioneer d’Arccity. C’est un match de la très populaire première ligue de Quidditch Vénusien, qui est parfois diffusé sur Terre. Avant d’embarque dans le Bifröst, vous aviez d’ailleurs regardé la final qui opposé les Pretorians de la capitale Vesta au Jedi de Bespin. Vu que ce match fait l’objet de nombreux pari sportif, il est diffusé en « direct lumière » c’est-à-dire simplement le temps que met la transmission à faire le voyage de Vénus jusqu’à la Terre. D’ailleurs les physiciens travaillent sur la communication quantique n’ont pas le droit de parier sur les sports d’autres planète de peur qu’ils parviennent à développer un système de transmettre les scores plus vite que la lumière.
Zone industriel haute (2B, 2C)
Après être redescendu de la station de sport d’hivers, vous prenez la ligne B (métro diagonal) qui vous fait descendre vers le bas de la colonie. Vous commencé par passé à côté d’une bulle blanche surmontant une structure pourvu de grandes ailes. C’est ce qui est généralement appeler zone industrielle haute. Les ailes servent en parti au refroidissement des activités chaudes qui s’y déroule. C’est se besoin de refroidissement qui justifie sa position haute dans la colonie, donc dans des couches atmosphériques plus froide. Vous n’avez pas le temps de vous y arrêter, mais Anna vous explique que c’est de la que provienne les matériaux qui permette la production des nouveaux modules.
La majorité de ces matériaux sont produit à partir d’élément capturé dans l’atmosphère par les ailes qui font aussi office de collecteur d’aérosol. Une des principales ressources est l’acide des nuages qui peut être décomposé en eau lui-même décomposable en oxygène (respirable et comburant) et hydrogène (carburant). Avec l’hydrogène et le CO2 atmosphérique on peut synthétiser des hydrocarbures à commencer par le méthane (carburant). Avec ces matériaux et les aérosols présents dans l’atmosphère, on peut produire des matériaux plastiques utilisés dans un grand nombre d’objets. On peut notamment créer du PTFE capable de protéger les modules contre l’acide sulfurique des nuages. Dans le but, d’atteindre un maximum d’autonomie, les centres de recherche vénusien sont devenus expert dans la production d’éléments électroniques plastiques utilisant uniquement des ressources atmosphériques. Des mines en surface permettent de fournir les matériaux de base qui ne sont pas substituable par chimie organique. D’ailleurs Babakine est une des principales colonies minières de Vénus et Anna a déjà prévu de vous faire voir les installations dédiées à cette activité.
Serres (3A, 3B, 3C, 3D, 3E, 3F)
En descendant encore d’un niveau dans la colonie, vous atteignez les serres. Les plantes y poussent hors-sol contre les parois des bulles leur donnant vu de loin une teinte verte. Afin d’avoir toujours une température optimale pour les cultures, elles sont toute placées au même niveau forment une ligne verte barrent la colonie. Pour varier du végétal, on trouve aussi des élevages de poules pondeuses pour une cuisine à base d’œuf ainsi que de l’aquaculture pour les poissons et crustacés. Cependant le gros de l’apport en protéine provient des élevages d’insectes bien moins gourmands en ressource et plus faciles à transporter que les animaux à viande terrestre.
Pour faire pousser les plantes, les cultivateurs utilisent un engrais à base de spiruline. Les réacteurs à spiruline sont placés dans les modules habitation au plus près des sources d’eau usée qui servent à les faire pousser. Cette culture produite aussi de l’eau potable et de l’oxygène directement sur place et évite ainsi de l’extraire de l’atmosphère avec un coût en énergie non négligeable. La spiruline est ensuite transportée dans les câbles inter-modules tout comme l’énergie, les eaux usées, les eaux propres ou l’oxygène pour alimenter les modules dépourvus de système de support vie ou en cas de panne.