Date terrestre : 07h12  Mercredi 17 janvier 2142

Date Vénusien : 16H55 Croday 45 advanae 61

Lieu : atmosphère de Venus, 55km au-dessus de la surface, Babakine, Coordonnée atmosphérique :0°N, 18°E

Alors que vous descendiez encore sur la ligne B, Vous traversez un niveau constitué de module argenté. Anna vous explique que ce sont les résidences dans lesquelles habitent les babakiniens. Vous ne vous y arrêtez pas car vous aurais l’occasion d’en visité en vous installant chez vous. Elle veut d’abord vous montrer la zone industrielle basse qui se trouve juste en dessous. Elle est située au pied de la colonie car sur Babakine, elle est très liée aux mines de surface. De plus, dans ces couches d’air plus dense, la potence des ballons est meilleure autorisant des installations plus lourdes. Les premiers modules sur lequel vous tombez est un port de fret inter colonial (5B) entouré par une demi-douzaine de dirigeable de transport comme vous en avait déjà vu sur Vesta.

Port d’exploration de surface (6B)

Vous arrivé enfin au niveau le plus bas de la colonie dans le port d’exploration de surface. C’est de là qu’est envoyer les rover et sonde de prospection scientifique et minier. C’est aussi de ce module qu’est gérer l’exploitation initial des petites mines avant que les infrastructures spécifiques sois mise en place. Le module abrite pour cela des hangars ou les installations de surface sont préparées avant la mission et refroidi après cette dernière. Afin de gère les monter et les descentes, le module est conçu pour recevoir des véhicules d’exploration de surface que tout le monde ici appelle X-Wing a cause de leurs ailes en croix.  Dans leur partie basse se trouve un hangar non pressurisé ou sont solidement arrimé les rovers ou autre installation de surface. Dans la partie haute se trouve une cabine ou les passage peuvent vivre à une pression supportable avant de rentré dans leur scaphandre. En effet, en plus du mineur, scientifique et géologue, il est aussi possible pour le public de faire des excursions en surface. C’est excursion en scaphandre rigide ou rover habitable permet à tout le monde de découvrir cet environnement si proche mais si étrange. Anna vous parle de ses nombreuses expédition en surface, la faible lumière rougeâtre qui éclaire des environnements rocheux très varier mais toujours distordue par la densité du CO2. Vous aurais l’occasion de faire des descentes en surface au cours de votre séjour sur Vénus et Anna vous vente la beauté des paysages d’Aphrodite terra.

Déchargement d’un X-wing en surface

Grace a la densité de l’air en surface, les rotors placé au bout des ailes du X-Wing sont suffisant pour permettre un vol stationnaire et une atterrissage vertical comme un hélicoptère.  En revanche, pour atteindre l’altitude de la colonie, il doit se déplacer a horizontalement (d’où la nécessité d’arrimer le matériel en soute) en utilisant la portance de ses ailes comme un avion. Anna vous propose de patienter quelque minute car un appareil est en approche. Arrivé à faible vitesse, il commence par saisir un trapèze avec le Y placé sur son nez. En inversant la poussé des moteurs, il ralentie assez vite pour s’arrêté avant que le chariot qui tient le trapèze arrive au bout de son rail de 400m de long. Une fois suspendu au trapèze, ce dernier se rétracte et son chariot le ramené vers le port d’exploration. Il empreinte enfin un rail circulaire autour du port pour poser le X-Wing sur une plateforme latéral.

Port d’exploration de surface

Usines basses (5C, 5D, 6C)

Arrive au bout de la ligne B, vous passez sur la ligne 6 qui circule tout en bas de la colonie. En continuent vers l’EST, vous commence par passer sous un module industriel. Il y en a deux autres sur la ligne 5, juste au-dessus. Placé dans les couches denses de l’atmosphère, leur portance est meilleure et permet la mise en place d’installations plus lourdes que les usines haute. Ici, l’industrie est principalement orientée vers la métallurgique avec la production de lingot brute exporté vers les autres colonies ou transformé en pièces métallique. De parte la spécialité minière de Babakine, c’est ici que son produit les équipements de surface les plus réputé de Vénus. Pour les taches simples des rovers entièrement mécanique sans compartiment pressurisé ni isolation thermique fonctionne parfaitement avec des ordinateurs mécaniques reprogrammé à chaque utilisation.

Projet de rover mécanique de la Nasa (source)

Pour les taches plus complexes ou les rover habitable, il est nécessaire de produire des coques extrêmement résistantes mais aussi isole thermiquement. La solution la plus couramment utilisé est une double coque entre lequel le vide est fait pour empêche le transfert par convection. Cette isolation est complétée par des moyennes de cassé les transferts par rayonnement. Cela permet de rendre quasi inexistant le flux de chaleur provenant de l’extérieur. Cependant le dégagement de chaleur des éléments internes (moteur, ordinateur, passagers …) ne peut être évacué et risque de provoquer la surchauffe du rover ou de l’installation. C’est pour cela que l’équipement doit soit être remonté régulièrement pour être refroidie dans la colonie soit équipé de système de refroidissement pour les plus gros.

Port d’exploitation de surface (6D)

Le ravitaillement est assuré par le module d’exploitation sous lesquelles vous été en train de passer.   Il est constitué d’une bulle principal dans laquelle se trouve divers installation d’entretien du matériel ainsi que de traitement et de refroidissement du minerais tout juste arrivé de la surface. En dessous se trouve une bras de lancement et des quai d’accueils pour avion comme sur l’aéroport. Les avions qui y sont attaché sont souvent appelé hirondelle en raison de leur grandes ailes. Ces hirondelles sont destinées au transport du personnelle des mines dans une cabine pressurisé qui les protéger des condition de température et de pression des couches basses de l’atmosphère.  Le reste du fuselage est occupé par une soute non pressurisé pour le transport du matériel et surtout du minerais.

Port d’exploitation de surface

Les hirondelles décollent et rejoigne le port d’exploitation de surface comme un avion de transport de passager rejoint un aéroport vénusien. Cependant, pour rejoindre les mines, elle s’amarre au station planante qui y sont attaché. Ces stations sont installées sur toutes les grandes mines. Elle se présente sous la forme d’énormes cerfs-volants situés à une dizaine de km d’altitude. Ils sont reliés à la mine par un câble sur laquelle circule un téléphérique transportant le personnel, le matériel et le minerais. Dans le câble circule aussi un fluide caloporteur qui permet de maintenir la température des installations de surface a une niveau vivable grâce à une unité de refroidissement bénéficie de température plus clémente (350°C contre 500°C en surface). L’énergie de cette unité de refroidissement ainsi que toute les installations de surface sont alimenté de jours comme de nuit par des éoliennes de la station planante. En effet, contrairement à la colonie qui tourne avec l’atmosphère, la station planant est lié à la surface. Elle subit donc un vents permanent de 90km/h a cette altitude du a la super rotation de l’atmosphère. Combiné a une masse volumique de l’air d’environ 30kg/m3 (du a la pression), se vent est suffisant pour faire voler une hirondelle. Elle peut donc se poser sur le porte d’amarrage de la station planante sans vitesse relative à l’image d’un ravitaillement en vol au cours duquel le chasseur et le ravitailleur vol à la même vitesse.

Hirondelle amarré à une station planante